++ L'Entrevue de James Marsters ++ |
TWoP et la journaliste Jenny ont interviewé James une entrevue qui c'est prolongé..... |
Ainsi à ce point je peux honnêtement dire que je me donne un certain crédit ( bien que ledit crédit à changé) pour obtenir chaque interview que je n'ai jamais fais pour TWoP. Je voudrais remercier au nom de TWoP le journaliste Jenny qui ete totalement amoureuse de l'interviewé et de l'arrangement de l'interview et bien sur l'homme lui même l'ancienne star de Buffy contre les vampires et Angel qui a donné environ 50 minutes et nous étions prévu pour 20. C'est un mec très bien et amusant et voici ce qu'il a dit . CB : Couch Baron JM :James Marsters Couch Baron : Vous avez grandi à Modesto, une petite ville en Californie du nord. James Marsters : Ouais. Un bon endroit pour grandir. Il y a beaucoup de vergers et de chemins en terre battue. CB : . Je vois que vous avez voulu être un acteur dès votre plus jeune âge. JM : Ouais. dès la classe de première CB : Avez vous eu par la suite le blues de votre province ? Mouriez-vous d'envie d'en partir et poursuivre votre rêve ? JM : Uh... ouais ! Mon père a vécu près de San Francisco, et quand j'ai vu San Francisco pour la première fois, c'était comme, je veux vivre dans cette ville. J'ai aimé le rythme. CB : Êtes-vous venu au théâtre à ce moment là ? JM : Ouais, je suis allé à ACT, qui est vraiment un bon théâtre sur Geary Street. Byron Jennings est sorti de là, Michael Winters y ete -- c'était une grande, grande compagnie. En fait, ils étaient si bons que quand je suis arrivé à Broadway, j'aie été comme, "Vous savez ce qui est bien et correct" Mais pas que grand en réalité . CB : Vraiment ! San Francisco était meilleur. JM : Ouais ! J'ai vu deux saisons complètes sur Broadway, et j'étais comme, je ne le vois pas. Et moi finalement j'en suis arrivé à la conclusion que Broadway était un marché bénéfique, et donc la direction a dû être peu une plus simple. Je n'est vu que les pièces que j'avais vus dans un théâtre à but non lucratif qui eux étaient plus complexes - les mêmes pièces, de mêmes scénarios. De bons acteurs, sur Broadway, qui à juste été simplifié parce que c'était un marché différent - ils n'essayent pas de faire l'art. je pense qu'ils essayent de faire de l'argent et ils veulent élargir audience. CB : Intéressant. Bien, vous avez fait quelques productions théâtrales vraiment sérieuses et engagées... JM : Ouais [rires] j'y ai cassé ma main par le passé, mec CB : Que c'est il passé ? JM : Oh, j'ai donné un coup de poing (j'ai presque troué) le pasteur, . Ce type entrecoupé…nous faisions avec Sam Shepard une pièce de Joseph Chaikin - Joseph Chaikin un grand dramaturge qui a souffert d'aphasie et Sam est allé chez lui quand il écrivait ces deux pièces pour essayer d'être une sorte de thérapie pour Joseph. Le sujet est un ange qui tombe sur terre et est désorienté ["je crois qu'il a appelé The War In Heaven: Angel's Monologue" -- CB] et c'est très émotionnel -l'ange se fait attraper par flic, et le bon vieux pasteur vient s'assoir juste dans la rangée a coté de moi .Je joue l'ange et il y a l'autre acteur, et nous jouons une scène où nous sommes sur le point de se tuer, et nous nous arrêtons et nous sommes comme, "ED, comme un feu, un tremblement de terre, ?" "Non, je suis juste watchin '." "Bien, vous connaissez car nous ne pouvons interrompre la répétition. Nous nous trouvons devant le besoin de retourner quarante-cinq minutes pour l'obtenir." [George W. La voix de Bush] "Bien, vous connaissez, continuez . Je ne suis pas leavin '. Je suis le pasteur ici. Vous agissez, maintenant." Et, vous connaissez, je l'ai finalement sorti, mais aussitôt qu'il est parti j'ai troué le plancher à l'étage et j'ai totalement cassé ma main je n'avais aucune assurance médicale. Donc à l'hôpital j'ai parlé de mon traitement parce que j'étais dans un service à la communauté.(Rires) mais le docteur a juste continué à me re-casser l'os- il ne voulais pas me plâtrer car cela coutait trop d'argent donc ils ont juste continué à me le re-casser chaque semaine CB : Oh mon Dieu. Vous n'avez eu aucun problème avec lui,? JM : Uh, pas encore. Ils disent que je vais avoir une jolie arthrite plus tard. CB : C'est à craindre JM : Ouais. C'est casse-couille. CB : Bien, vous avez mis sur pied votre propre compagnie de théâtre à Chicago et l'avez ensuite déplacée à Seattle. Avait il un centre particulier, ou y avait-il une place de théâtre que vous essayiez de explorer ? JM : Nope, pas du tout. Nous faisions...moi et mon épouse d'alors, Lianne Davidson, cette production une pièce de Brian Friel, "Lovers". Un grand scenario -- triste et heureux et fabuleux. Et il était, en dépit pas de la meilleure production... Bien, c'était la direction, je pense, il est toujours un succès, mon épouse d'alors et moi nous nous sommes regardé l'un l'autre et avons dit, bien, vous savez, "nous pouvons bien le baiser ." [Tous les deux rient] nous avons essayés nous même le saviez vous ? Et nous avons fait une union de Lanford Wilson's Home Free! et Leonard Melfi's The Bird Bath, et ce n'étaient pas un succès critique -- , mais nous étions des amis... mes amis m'ont dit qu'ils font cela à chaque acteur qui ose commencer à faire quelque chose comme ça. Mais heureusement nous avions raison à travers la rue de Steppenwolf et ils nous ont remarqués et ils nous ont un peu pris sous leur aile et ils nous ont un peu aidés u. Nous avions un meilleur succès avec A Phoenix Too Fréquent, la première pièce de Christophe Fry, et c'était était une grande histoire qui a presque abouti à la violence aussi, comme une question de fait!
|